Festival Cinéma du RéelDu 25 mars au 1er avril venez découvrir les documentaires du Festival Cinéma du Réel. Cette nouvelle édition interroge à nouveau ce qu’il en est du documentaire, de ses formes, de ses évolutions et des manières de faire des cinéastes. C’est en cela un festival exploratoire, un chantier de recherche.
MK2 INSTITUTCulture pop et psychiatrieAprès le succès des dernières saisons, ce nouveau cycle de conférences destiné à tous revient un samedi par mois. En convoquant Lars von Trier, Britney Spears ou la série En Thérapie, le Dr Jean-Victor Blanc propose un éclairage ludique et scientifique sur la santé mentale. Il fait le pari qu’en faisant mieux connaître les troubles mentaux les plus fréquents, l’inclusion des personnes concernées sera améliorée.
Dancing PinaDécouvrez le documentaire en présence de Florian Heinzen-Ziob, Josephine Ann Endicott et Sang-Eun Lee.
MK2 INSTITUTOthello : Quand les mots prennent corpsL'Art de la direction d'acteurs avec l'Odéon-Théâtre de l'Europe Comment lire et interpréter, incarner toute la gamme des sentiments humains ? Comment rendre compte de leur complexité où se jouent les relations entre les êtres ? Jours de joie d’Arne Lygre et Othello, le chef-d’oeuvre de Shakespeare, inventent une langue puissante qui explore les profondeurs de la psyché, les conflits qui l’animent, les paradoxes qui la font vivre. L’art du metteur en scène et du comédien sont là pour mettre en tension les signes, déployer les ressources du corps et de la voix, affronter l’espace de la représentation. Les metteurs en scène Stéphane Braunschweig, Jean-François Sivadier et le comédien Nicolas Bouchaud s’entretiennent de ces questions au coeur de l’énigme théâtrale. Une pièce à retrouver à l'Odéon-Théâtre de l'Europe du 18 mars au 22 avril.
Voyages en ItalieDécouvrez le film en avant-première en présence de Sophie Letourneur et Philippe Katerine.
MK2 INSTITUTMasterclass du cinéaste Amos GitaïInvité à mk2 Institut, le cinéaste Amos Gitaï aborde la question de la place de la mémoire dans son oeuvre et du rôle de l’artiste comme citoyen. « La mémoire est un agent de changement même si son travail n’a pas un impact direct, même si le cinéaste, l’écrivain, le peintre ne peuvent remplacer les hommes politiques. Les artistes ont des moyens de sanction. La mémoire n’est pas innocente. Je dis souvent que les films commencent quand la projection est terminée. Car les images sont inscrites dans notre esprit, et nous les laissons s’y promener (…) nous offrant un espace de réflexion, elles nous permettent de ne pas nous comporter en consommateurs mais en interprètes. Elles nous invitent à nous engager. » - Amos Gitaï. Une heure de masterclass suivie d’un temps d’échange avec le public.